Harmonies d’un adieu, sept poèmes de Jean Chapdelaine Gagnon, sept sphères (inspirée de L’harmonie des sphères de Pythagore) et un environnement électroacoustique ambiophonique structuré pour une diffusion dans un dôme. Agrémentée d’une plateforme numérique multimédia, l'œuvre est accompagnée d’un scénarimage, dont le scénario fait référence à la course vers Mars et à la volonté d’Elon Musk de terraformer Mars, Elon Musk qui s’est rebaptisé Kekius Maximus sur son compte X. La source des sujets abordés dans le scénarimage sera l’actualité mondiale en pleine mutation, mais avec un brin d’humour. Ce contenu, calqué sur l’actualité, servira d’appât pour la découvrabilité d’Harmonies d’un adieu compte tenu des mots-clés utilisés dans la mise en récit. Maximus, le laboratoire expérimental de recherche-création.